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maya

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MessageSujet: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 11 Juil - 16:49

L'ARN synthétique, peut-être une bonne arme contre le Sida
Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences


En masquant une certaine région du génome du VIH, le virus du Sida, il est possible d'en empêcher la multiplication au sein de la cellule infectée. Une équipe franco-américaine vient de préciser avec beaucoup de détails la bonne manière d'accrocher un ARN de synthèse à l'endroit voulu.


Comme tous les virus, le VIH profite de la machinerie génétique de la cellule qu'il infecte (et qui ne survit pas) pour se reproduire en de multiples exemplaires. C'est ce que l'on appelle la réplication. Parmi les moyens de lutte contre le Sida figure en bonne place la recherche de produits actifs qui empêchent cette multiplication du virus chez la personne infectée. Le début de la réplication a donc logiquement focalisé un grand nombre d'études depuis plusieurs années et le scénario de la réplication du VIH commence à être assez bien connu.


Ces travaux ont repéré une région vulnérable sur le génome du virus, constitué, puisqu'il s'agit d'un ribovirus, d'ARN (et non d'ADN). Baptisée TAR (trans-activator response), elle joue le rôle d'un régulateur de la réplication. Replié sur lui-même en forme d'épingle à cheveux, ce brin, long de 70 paires de bases, accroche temporairement plusieurs facteurs, dont une protéine virale (Tat), avec pour effet d'activer la reproduction du génome du VIH.


Plusieurs études ont montré que l'inhibition de cette région TAR diminue considérablement la multiplication du virus. Pour y parvenir, une solution est de créer un ARN de synthèse capable de se fixer sur cette région, qui est ainsi masquée et donc inactivée. Encore faut-il trouver une séquence spécifique et bien comprendre les mécanismes de fixation, afin d'éviter que l'ARN de synthèse n'aille s'accrocher ailleurs. C'est ce travail qu'a réalisé une équipe internationale réunissant notamment des chercheurs de l'Institut de biologie structurale Jean-Pierre Ebel du CEA (IBS), de l'Institut européen de chimie et biologie (IECB) et de l'université d'Ottawa, et dont les résultats viennent d'être publiés dans les Pnas (Proceedings of the National Academy of Sciences).


Pour accrocher deux ARN, entrelacer deux boucles


Les chercheurs de l'IECB ont d'abord patiemment testé une série de petits brins d'ARN (des oligonucléotides) en puisant dans une banque qui en contient cent milliards, pour retenir ceux capables de se fixer spécifiquement sur la région TAR. Les équipes de l'IBS et de l'université d'Ottawa ont ensuite pris le relais pour étudier de près cette fixation à l'aide d'une technique utilisant la RMN (résonance magnétique nucléaire). Des progrès récents permettent en effet de visualiser de cette manière les détails anatomiques de la molécule d'ARN.


Pour s'accrocher, l'ARN de synthèse doit présenter une structure en boucle qui vient se fixer sur la région TAR à l'endroit où celle-ci forme elle aussi une boucle. Le résultat est appelé complexe entrelacé (kissing complex en anglais). L'étude par RMN a montré que ce complexe ne peut se former que s'il existe un certain motif sur l'ARN de synthèse, en l'occurrence une paire de bases GA (guanine et cytosine). Curieusement, cette paire nécessaire à la fixation ne doit justement pas s'apparier avec la région TAR. En restant libre, elle favorise la formation d'une boucle qui, elle, est indispensable à la formation du complexe entrelacé.


Voilà donc une étape cruciale dans la recherche d'ARN de synthèse susceptibles de bloquer la multiplication du VIH. Les biologistes travaillant sur ce sujet dans le monde savent maintenant qu'ils doivent prendre garde à insérer une paire GA dans les ARN de synthèse candidats pour le rôle d'inhibiteur de la réplication.


L'étude servira aussi, plus généralement, à mieux comprendre le fonctionnement des associations entre ARN (ou entre ARN et ADN) au niveau de structures en boucles, qui participent manifestement à la régulation de l'expression des gènes. Dans ces mécanismes, les différents types d'ARN jouent des rôles multiples et la compréhension de cette régulation constitue le grand chantier de la génétique actuelle.


Source:http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/larn-synthetique-peut-etre-une-bonne-arme-contre-le-sida_16118/


http://fr.rian.ru/science/20080710/113696133.html


Sida: le vaccin russe pourrait voir le jour dans dix à 15 ans (expert)





16:25|10/ 07/ 2008
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MOSCOU, 10 juillet - RIA Novosti. Un vaccin contre le sida pourrait être créé en Russie dans dix à 15 ans, estime Alexandre Golioussov, chef du département du contrôle du VIH/sida du Service fédéral russe de la protection des consommateurs.
"En vertu d'une récente ordonnance gouvernementale, plus d'un milliard de roubles (environ 27 millions d'euros) ont été affectés à ce projet. Trois centres de recherche, à Saint-Pétersbourg, Moscou et Novossibirsk, ont formé une structure unie en vue d'élaborer le vaccin. Mais un travail immense devra encore être accompli pour obtenir le vaccin que l'on espère voir arriver dans dix à 15 ans", a-t-il expliqué jeudi lors d'un duplex télévisé Moscou - New Delhi au siège de RIA-Novosti.
Un groupe de porteurs du VIH a déjà été constitué à Saint-Pétersbourg pour tester le vaccin, a-t-il ajouté.
Le docteur Banerjee, directeur du Département antisida du Territoire fédéral de New Delhi, a indiqué de son côté que l'on travaillait à l'élaboration d'un vaccin antisida en Inde depuis 30 ans et que les premiers résultats étaient attendus pour les dix à 15 prochaines années également.
==========================================================================================http://www.lepetitjournal.com/content/view/29102/1013/

Les condylomes communément appelés "crêtes de coq" ou verrues génitales sont une des maladies sexuellement transmissibles (MST) les plus fréquentes. Longtemps considérés comme désagréables mais totalement inoffensifs, on sait maintenant que certains condylomes peuvent présenter un danger. Le point avec le BNH Hospital

Qu'est ce qu'un condylome ?
Les condylomes, sont des excroissances indolores ressemblant à des verrues, touchant la peau ou les muqueuses des régions anales ou génitales (vulve, vagin, col utérin, testicules, verge) et plus rarement la cavité buccale. Ils sont parfois invisibles à l'œil nu et sont dus à des virus appartenant au groupe des Papillomavirus (Human Papilloma Virus : HPV). Les types de HPV entraînant des verrues sur les mains et les pieds ne se transmettent pas aux organes génitaux. Les lésions sont bénignes dans la très grande majorité des cas, cependant, non traitées, certaines peuvent devenir précancéreuses et parfois, dégénérer en cancer.
Causes et facteurs de risques
La maladie, très contagieuse, se transmet généralement par contact sexuel direct (peau à peau, muqueuse à muqueuse) avec ou sans pénétration. La contamination par des objets ou vêtements contaminés est possible mais rare. La probabilité de contracter le virus est majorée en cas de partenaires multiples, vagabondage sexuel, prostitution, non utilisation de préservatif. Beaucoup de personnes sont infectées mais la plupart n'ont aucun symptôme apparent. L'humidité (piscine…) semble favoriser la contagion. Pendant la grossesse, la taille et le nombre de condylomes augmentent souvent et régressent spontanément après l'accouchement. La transmission mère - enfant lors de l'accouchement est possible mais rare. La transmission de l'infection dépend de l'efficacité des défenses immunitaires, c'est pourquoi il arrive parfois qu'un seul des partenaires sexuels seulement soit atteint. Certaines maladies immunodépressives (HIV…) ou certains traitements immunosuppresseurs favorisent donc la maladie et augmentent la probabilité de développer un cancer). La période d'incubation est généralement de 1 à 6 mois mais elle peut durer des années ! Une contamination dans le passé est donc possible…votre partenaire actuel peut ne pas être responsable !



Consultation médicale
Les condylomes inapparents sont souvent découverts lors d'un frottis de contrôle comprenant le test de Pap. Votre médecin effectuera également un examen clinique et pourra éventuellement prescrire des sérologies de dépistage (syphilis, VIH…). Le(s) partenaire(s) d'une personne contaminée doivent consulter également.
Sachez qu'il existe maintenant un nouveau vaccin préventif efficace contre certains des HPV responsables des condylomes, destiné aux filles et femmes âgées de 9 à 26 ans, après avis médical. Ce vaccin ne soignera pas les maladies provoquées par les différents HPV: son but est de protéger vous (ou votre fille) avant contamination. Etre vacciné ne protège pas à 100%, il est donc important de consulter son médecin, de faire des frottis de dépistage régulièrement et d'apprendre à sa fille à faire de même.
Traitement
Le traitement des condylomes est souvent long mais vient généralement à bout des lésions. Tous les partenaires sexuels atteints doivent être traités. Une guérison spontanée est tout à fait possible. Les récidives étant malheureusement fréquentes, une surveillance prolongée est nécessaire. Évitez les contacts sexuels pendant le traitement. Signalez à votre Médecin si vous êtes enceinte ou pensez l'être. Attention, pas d'automédication ! Les produits utilisés pour le traitement des verrues des pieds ou des mains ne sont pas adaptés !
Recommandations concernant les condylomes génitaux
Consultez si vous constatez la présence d'excroissance sur ou autour de votre appareil génital ou anal, si votre partenaire est porteur d'un papillomavirus ou de condylomes. Les préservatifs diminuent le risque de contamination mais n'empêchent pas le risque de transmission par contact cutané ou cutanéo muqueux sans pénétration. Les spermicides seuls ne protègent pas contre ce virus.


function imgzoom(o) {if(event.ctrlKey) {var zoom = parseInt(o.style.zoom, 10) || 100;zoom -= event.wheelDelta / 12;if(zoom > 0) {o.style.zoom = zoom + '%';} return false; } else {return true;}}
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 11 Juil - 19:05

11/07/2008 Infections transmissibles sexuellement: forte progression chez les jeunes
http://www.cyberpresse.ca
Les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) connaissent une forte hausse au Québec, particulièrement chez les jeunes, la couche de la population la plus vulnérable. Le Dr Réjean Thomas parle même d'une «épidémie qui sévit depuis 10 ans». Le Portrait des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) au Québec pour l'année 2006, un document produit par le ministère de la Santé, brosse un tableau très sombre de la situation. Par exemple, de 1997 à 2004, les cas d'infections à chlamydia déclarés ont doublé. Les femmes constituent près des trois quarts des cas et les jeunes de 15 à 24 ans sont les plus touchés. Mauvaise nouvelle aussi du côté de la gonorrhée - blennorragie - qui connaît un nouveau «cycle haussier» amorcé en 2005. L'augmentation constatée est de 68% entre 2004 et 2007. La situation est explosive chez les adolescentes de 15 à 19 ans chez qui on a constaté une hausse de 250%. La syphilis, qui avait complètement disparu, a refait surface en 2001. D'un cas par mois pour cette première année, on est passé à un par jour en 2006. Cette éclosion touche particulièrement les hommes (90%) ayant des relations sexuelles avec des hommes. Pour le VIH, entre 2004 et 2006, une hausse de 23% du nombre de nouveaux diagnostics a été enregistrée chez les hommes, et une baisse de 9% chez les femmes. Il est évalué qu'entre 500 et 1400 Québécois auraient contracté le VIH en 2005, année des plus récentes estimations. L'hépatite B se maintient à un niveau élevé, mais on note une disparition progressive des cas aigus. Par ailleurs, il subsiste toujours une épidémie d'hépatite C chez les usagers de drogues injectables. «Les données préliminaires de 2008 indiquent qu'il y a une légère hausse des infections à chlamydia, de la syphilis et de la gonorrhée», dit Gilles Lambert, médecin-conseil du bureau de surveillance et de vigie du ministère de la Santé. «La remontée non seulement de la chlamydiose, mais aussi d'autres ITSS est possiblement liée à une certaine banalisation du VIH, banalisation qui ferait suite à l'introduction de thérapies antirétrovirales plus efficaces», conclut le rapport du Ministère. Autrement dit, depuis que le sida se soigne, la population aurait baissé la garde face aux ITSS. «Les jeunes ont dans l'esprit que ça arrive juste aux autres», dit Nathalie Nadon du ROCAJQ. Les chiffres alarmants démontrent le contraire.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080711/CPACTUEL/807110776/6685/CPACTUEL

11/07/2008 A un mois des JO, Pékin fait taire les voix indésirables
http://tempsreel.nouvelobs.com
Militants faisant campagne contre le sida ou l'hépatite, vagabonds: à un mois du début des Jeux Olympiques, le gouvernement chinois fait taire tous ceux perçus comme indésirables et considérés comme une menace potentielle pour le bon déroulement des jeux. Lu Jun est l'un d'entre eux. Son site Internet défendant les droits de millions de Chinois atteints de l'hépatite B a été fermé en mai. En juillet, il a été retenu pendant quatre heures par la police à son retour de Los Angeles, où il assistait à une conférence sur l'hépatite. Les policiers, explique-t-il, voulaient savoir ce qu'il comptait faire avec le grand drapeau rouge trouvé sur lui, appelant les pouvoirs publics chinois à agir contre la maladie. Son site web récemment fermé revendiquait quelque 300.000 membres. "Le site parle de la discrimination" dont sont victimes les malades "et les gens critiquent le gouvernement. Ce sont des choses négatives et ils ne veulent pas perdre la face pendant les Jeux", analyse Lu. Wang Lijun, 37 ans, est lui venu avec une quarantaine d'autres personnes de plusieurs endroits du pays, afin de demander l'intervention du pouvoir central dans diverses affaires locales. Certains ont été interpellés par la police et parfois renvoyés directement chez eux, témoigne-t-il. Originaire de la province de Shanxi dans le nord de la Chine, Wang s'est déjà rendu à de nombreuses reprises à Pékin, pour tenter de toucher les pensions dues à son père, ancien combattant de la deuxième guerre mondiale et de la guerre de Corée, qualifié par la suite de "criminel politique". Au cours des derniers mois, poursuit Wang, les autorités lui ont explicitement demandé à deux reprises de ne pas se déplacer à Pékin, en raison des JO. Il a passé outre cette interdiction, mais "maintenant, je ne peux plus aller à l'hôtel. Je dois vivre dans les rues parce que si jamais j'enregistre mon nom, la police me mettra dehors". La pression policière croissante incite certains militants à quitter Pékin, tandis que d'autres ont reçu l'ordre de partir, confirme Sara Davis d'Asia Catalyst, une organisation de défense des droits de l'homme. Wan Yanai, pionnier du militantisme pour les droits des malades du sida, ne restera pas à Pékin pendant les Jeux, du 8 au 24 août. Depuis fin mai, explique-t-il, la police le suit régulièrement, parfois 24h sur 24. Plusieurs dizaines de militants ont été assignés à résidence ou placés sous surveillance, ajoute Wan. "Les gens, cette année, font très attention, et sont peu nombreux à organiser des activités importantes", dit-il, en notant que deux sites internet et des forums consacrés au sida ont été fermés. Selon Zhang Shihe, qui tient un blog largement consacré aux conditions de vie des travailleurs migrants à Pékin, les autorités de la capitale ont invité hôteliers et habitants à ne pas héberger de personnes en provenance du Tibet, de Mongolie Intérieure et du Xinjiang, province de l'ouest où vit une importante communauté musulmane. Mendiants et vagabonds ne sont pas non plus les bienvenus. Liu Qi, secrétaire du Parti communiste chinois à Pékin et président du Comité d'organisation des JO, avait clairement annoncé dès janvier 2008 qu'ils seraient évacués de la capitale chinoise.
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/asiepacifique/20080711.FAP4630/a_un_mois_des_jo_pekin_fait_taire_les_voix_indesirables.html

11/07/2008 ITS: les budgets baissent au mauvais moment
http://www.cyberpresse.ca
Québec réduit de moitié le budget destiné aux campagnes publicitaires de lutte contre le sida et les infections transmissibles sexuellement et par le sang, au moment même où l'on constate leur forte progression dans toute la province. Depuis près de 10 ans, 1 million de dollars est alloué annuellement aux campagnes de lutte contre le sida et les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS). Mais pour l'année 2008-2009, seulement 575 000$ sont prévus au budget pour les différents messages publicitaires. Or, les cas d'infections à chlamydia, la gonorrhée, la syphilis et le VIH explosent littéralement depuis quelques années au Québec, selon un récent rapport du ministère de la Santé. «Les budgets devraient augmenter et pas diminuer, s'indigne Nathalie Nadon, responsable au Regroupement des organismes communautaires autonomes jeunesse du Québec (ROCAJQ). C'est aller à contresens de tout ce qu'on constate au niveau des statistiques.» «Dans un contexte où l'incidence du VIH n'a pas diminué, je trouve déplorable que l'on coupe les budgets pour les campagnes», dit René Légaré, de la Coalition des organismes communautaires québécois de lutte contre le sida (COCQ-Sida). Le Dr Réjean Thomas estime que le gouvernement ne fait pas suffisamment d'efforts dans la prévention des ITSS, particulièrement auprès des jeunes. «À la clinique, le tiers de nos nouveaux patients diagnostiqués en 2007 ont moins de 30 ans et 13%, moins de 25 ans», dit le médecin et président de la Clinique l'Actuel, Réjean Thomas. Réduire les budgets de prévention est un mauvais calcul, selon le Dr Thomas, puisque la note des soins de santé ne fera qu'augmenter. «Seulement pour traiter le VIH, cela coûte 100 millions de dollars par année!» «Il faut faire attention dans la manière de compter parce que la façon de consentir les budgets a beaucoup évolué», met en garde Marie-Claire Ouellet, secrétaire générale associée à la communication gouvernementale. Elle assure que ce budget pourra être révisé au cours de l'année en fonction des demandes et des besoins exprimés par le ministère de la Santé. «C'est sûr qu'il y a une apparence de réduction budgétaire, dit Hélène Gingras, du ministère de la Santé. Mais c'est une distribution initiale, ce ne sont pas les budgets définitifs. D'autres moyens de prévention peuvent être déployés.» Le ministère de la Santé peut aussi puiser à même son propre budget pour financer des campagnes de prévention. Par exemple, pour l'année 2006-2007, le Ministère a débloqué 1,7 million de dollars en plus du million accordé par le Secrétariat aux communications du gouvernement.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080711/CPACTUALITES/807110777/6685/CPACTUEL

09/07/2008 Les microbicides pour protéger les femmes du SIDA protégeraient aussi les hommes
http://www.actualites-news-environnement.com
Les microbicides (gels ou crèmes) visant à aider les femmes à se protéger du virus du SIDA pourraient également protéger autant voire davantage les hommes avec qui ces femmes ont des relations sexuelles, d’après ce que des chercheurs ont indiqué lundi. Les gels visant à aider les femmes à se protéger du virus du SIDA pourraient également protéger autant voire davantage les hommes avec qui ces femmes ont des relations sexuelles, d’après ce que des chercheurs ont indiqué lundi. Les modèles informatiques prédisent que quand ces gels ou crèmes seront perfectionnés, ils pourront considérablement réduire le risque pour un homme d'attraper ce virus incurable lors d’un rapport sexuel avec une femme. De plus les femmes qui utilisent de tels gels, appelés microbicides, pourraient au final avoir moins d’options de traitement si elles sont contaminées par le virus VIH/SIDA, ont déclaré Sally Blower de l’Université de Californie à Los Angeles, et David Wilson de l’Université de Nouvelle Galles du sud à Sydney en Australie. « Paradoxalement, même si les microbicides seront utilisés par les femmes pour qu’elles se protègent de l’infection au virus VIH/SIDA, ils pourraient fournir des bénéfices plus importants pour les hommes » ont-ils écrit dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Un microbicide est un gel ou une crème qui pourra être appliquée au niveau du vagin ou de l’anus pour protéger un individu de la transmission sexuelle du virus d’immunodéficience humaine (VIH) qui cause le SIDA. Aucun de ces microbicides n’est disponible sur le marché, même si plusieurs d’entre eux sont testés. Deux versions utilisent des médicaments contre le VIH tels que le tenofovir qui est habituellement pris oralement pour supprimer le virus. Les deux chercheurs Sally Blower et David Wilson ont voulu voir si les femmes risquaient de développer une résistance à de tels médicaments si elles utilisaient un microbicide et était quand même infectée par le VIH/SIDA. Leur idée est que les médicaments peuvent être absorbés dans le corps par la paroi vaginale et puissent ensuite conduire à une mutation du virus du SIDA. Sally Blower a déclaré que leurs modèles mathématiques prédisaient que c’était en effet une possibilité, surtout dans les circonstances du monde réel où certaines personnes comme les prostituées pourraient ne pas utiliser les produits correctement. " Ce que nous avons découvert d’intéressant, de surprenant ou de paradoxal, c’est que dans certaines conditions, les hommes pourront bénéficier de ces microbicides beaucoup plus que les femmes » a indiqué Sally Blower. « Ces gels permettront de prévenir beaucoup plus d’infections chez les hommes que chez les femmes. C’est très surprenant ». Pour leurs modèles, Sally Blower et David Wilson ont utilisé des données provenant de tests en cours de microbicides, ainsi que les informations disponibles à propos de la façon dont le VIH développe une résistance aux médicaments existants. Si un microbicide n’est pas à 100% efficace, et si les femmes ne l’utilisent pas dans 100% des cas, il y a un certain pourcentage de femmes qui seront contaminées malgré l’utilisation du microbicide. Certaines de ces femmes continueront à utiliser le microbicide mais ne prendront pas de cocktails de médicaments contre le VIH et développeront ainsi une résistance au virus du SIDA. a plupart des 3 millions de personnes qui sont contaminées par le virus VIH du SIDA chaque année sont des femmes.
http://www.actualites-news-environnement.com/16991-microbicides-femmes-SIDA.html
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 11 Juil - 19:06

09/07/2008 «Edvige» met en fiches l'homosexualité et la séropositivité
http://www.tetu.com
Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, profite de la réorganisation des services de renseignement pour permettre le fichage de la santé et de l'orientation sexuelle de certains citoyens. Désormais, les services de police pourront enregistrer des données sur l'homosexualité d'une personne, ainsi que son statut sérologique. Ces données seront traitées par la direction centrale de la Sécurité publique. En effet, dans le Journal officiel du mardi 1er juillet, un décret relatif au nouveau fichier de renseignement «Edvige» (pour Exploitation documentaire et valorisation de l'information générale) offre désormais la possibilité de mentionner «la santé et la vie sexuelle» de certains citoyens, ce que, jusqu'à présent, le service des Renseignements généraux n'était pas autorisé à faire. Détail troublant: Michèle Alliot-Marie avait souhaité que ce décret ne soit pas publié au Journal officiel, avant de devoir faire machine arrière, suite aux protestations de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), organisme créé pour prévenir toute dérive informatique dans l'utilisation des données personnelles. Dans son avis du 16 juin publié au Journal officiel, la CNIL a émis des «réserves» sur la collecte de telles données en vue de constituer un nouveau fichier de police. Par ailleurs, après la publication du décret, la CNIL a renouvelé certaines réserves dans un communiqué de presse en date du 2 juillet. Concrètement, ce décret prévoit que la santé ou la vie sexuelle « peuvent être enregistrées [...] de manière exceptionnelle » pour « des personnes [...] ayant sollicité, exercé ou exerçant un mandat politique, économique ou syndical ou qui jouent un rôle institutionnel, économique, social ou religieux significatif », ainsi que pour des «individus [...] susceptibles de porter atteinte à l'ordre public», mais aussi pour des «enquêtes administratives [...] pour déterminer si le comportement des personnes [...] est compatible avec l'exercice des fonctions ou missions envisagées». La CNIL avait souhaité que le décret «définisse explicitement la nature des données [dites sensibles, parmi lesquelles figurent la santé et la vie sexuelle] qui seraient susceptibles d'être enregistrées [...] et précise, en outre, que lesdites données ne pourront être enregistrées que dans la stricte mesure où les finalités du traitement l'exigent». Or cette recommandation n'a pas été prise en compte. Dans son communiqué de presse, La CNIL a d'ailleurs «regretté que la possibilité de collecter désormais des informations relatives à la santé et à la vie sexuelle des personnes ne soient pas assortie de garanties suffisantes». Elle a ajouté qu'elle «sera particulièrement vigilante sur ce point et utilisera son pouvoir de contrôle pour s'assurer du caractère exceptionnel de l'enregistrement de ces données dans le fichier».
http://www.tetu.com/rubrique/infos/infos_detail.php?id_news=13220

09/07/2008 Les ONG tirent la sonnette d’alarme concernant la lutte contre les pandémies
http://www.humanite.presse.fr
Les Huit, qui s’étaient engagés l’an dernier à hauteur de 60 milliards de dollars, seraient prêts de revenir sur leur promesse L’engagement pris l’an dernier par le G8 lors du sommet d’Heiligendamm, en Allemagne, de consacrer d’ici 2010 soixante milliards de dollars à la lutte contre les grandes pandémies (sida, tuberculose et malaria) et au renforcement des systèmes de santé pourrait ne pas être tenu. Plusieurs organisations non gouvernementales (ONG) ont, en marge du sommet de Toyako, tiré la sonnette d’alarme tant les crantes se précisent de voir les Huit revenir sur leur parole. Les sommes allouées pourraient être révisées à la baisse sous couvert d’une « meilleure efficacité » grâce à l’adoption d’un dit « cadre de suivi » de l’effort d’investissement dans la lutte contre les maladies. « Nous avons peur que les pays les plus riches du monde tournent leur promesse initiale pour en adopter une sans signification », relève pour l’Humanité Asia Russel de l’association étatsunienne Health GAP. Remplir les obligations dictées par une certaine orthodoxie budgétaire en dépit de l’extension de la crise économique constitue vraisemblablement la principale raison de ce brusque accès de rigueur manifesté par les Huit. « Au plus mauvais endroit, c’est irresponsable », s’insurge un membre de Médecins du monde (MDM) présent également aux abords du sommet. MDM plaide pour que l’éventuel suivi des engagements, s’il est instauré, ait pour référence l’objectif d’Heiligendamm en conformité avec la promesse faite par le G8, il y a trois ans, de « soutenir la mise en place de politiques réalistes d’accès gratuit aux soins de santé primaires dans les pays en développement.
http://www.humanite.fr/L-Afrique-ne-voit-toujours-rien-venir

08/07/2008 Le G8 confirme le doublement de son aide à l'Afrique d'ici 2010
http://afp.google.com
Les pays riches du G8 ont confirmé mardi leurs promesses d'aide à l'Afrique, se donnant notamment cinq ans pour débloquer 60 milliards de dollars pour lutter contre le sida et la malaria, démentant d'insistantes rumeurs selon lesquelles ils allaient se dédire. "Nous réitérons notre engagement à poursuivre les efforts, à travailler vers le but de fournir au moins 60 milliards de dollars sur cinq ans pour combattre les maladies infectieuses et renforcer la santé", ont indiqué dans un communiqué les chefs d'Etat et de gouvernement du G8, réunis à Toyako (Japon). Cet engagement de verser 60 milliards de dollars (environ 38 milliards d'euros au taux actuel) pour lutter contre la malaria et le sida avait été pris par le G8 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie) lors de son précédent sommet à Heiligendamm (Allemagne). Mais aucune date-butoir pour débloquer cet argent n'avait alors été fixée. Le G8 a en outre confirmé son engagement pris au sommet de Gleneagles (Ecosse) en 2005 d'accroître de 25 milliards de dollars par an son aide au développement pour l'Afrique d'ici 2010, ce qui constituera un doublement par rapport à son niveau de 2004. Les dirigeants des huit nations industrialisées sont convenus de ces mesures au cours d'un déjeuner de travail mardi à Toyako, au lendemain d'une rencontre avec leurs homologues de sept pays africains (Afrique du Sud, Algérie, Ethiopie, Ghana, Nigeria, Senegal, Tanzanie plus Union africaine), au cours de laquelle ils s'étaient retrouvés sous intense pression. Les Africains craignaient que les pays riches ne reviennent sur leurs promesses de Gleneagles et de Heiligendamm, au moment même où la flambée des prix du pétrole et de l'alimentation rend leur situation encore plus difficile. Ils soulignaient notamment que moins d'un quart des 25 milliards de dollars annuels supplémentaires promis par le G8 en 2005 avaient effectivement été débloqués. Des informations de presse avaient également fait état d'un possible abandon à Toyako de cet objectif de 25 milliards de dollars. Selon une source proche de la négociation, la Grande-Bretagne poussait pour qu'une date-butoir soit fixée pour dépenser les 60 milliards de dollars destinés à la santé en Afrique mais d'autres pays, notamment le Canada, souhaitaient que le calendrier soit laissé dans le vague. Dans leur communiqué de Toyako, les chefs d'Etat et de gouvernement du G8 se sont en outre engagés à fournir 100 millions de moustiquaires traitées à l'insecticide pour freiner la propagation de la malaria dans les pays pauvres. Ils ont, en outre, estimé que leurs projets d'aide "devraient être réexaminés et pourraient devoir être accrus pour la période après 2010, au-delà de nos engagements actuels". Et ils ont accepté "d'établir un mécanisme de suivi pour surveiller nos progrès vers le respect de nos objectifs". Les organisations non gouvernementales, qui exhortaient également le G8 à ne pas se défausser, ont poussé un soupir de soulagement. "Les tentatives maladroites des dirigeants du G8 de faire marche arrière à propos de leurs promesses d'aide se sont retournées contre eux", s'est félicité Maw Lawson, porte-parole de la confédération d'ONG Oxfam International. "Le monde prend ces promesses au sérieux, même si les dirigeants du G8 ne font pas de même", a-t-il ajouté. "Ce ne sera qu'une fois que les 25 milliards pour l'Afrique auront été versés que nous aurons quelque chose à fêter", a cependant averti un autre responsable d'Oxfam, Charles Abani.
http://afp.google.com/article/ALeqM5i3Qj6QQZWbbtHVxY7IjQM56oikAw

08/07/2008 Sida : même efficacité des traitements standard et individualisés
http://www.romandie.com
Le traitement standard du sida, tel qu'il est pratiqué dans le secteur public de la santé en Afrique du sud, est aussi efficace que le traitement sur mesure utilisé en Suisse, pourvu que les malades soient traités suffisamment tôt, selon une étude. Des chercheurs de l'Université de Berne et d'autres de l'Université du Cap, dont les travaux sont publiés mardi dans la revue spécialisée en ligne PLoS Medicine, ont analysé des données rassemblées depuis 2001 sur plus de 2.000 patients bénéficiant de programmes de traitement publics au Cap et plus de 1.000 traités en Suisse, faisant partie d'une étude menée dans le pays. Un quart des patients sud-africains, soignés d'une infection au VIH avec une parmi quatre trithérapies, ont dû se reporter à un traitement dit de deuxième ligne au cours de l'étude, suite à une résistance au traitement initial, dit de première ligne. En Suisse, où les malades avaient droit à des traitements individualisés choisis entre 36 programmes différents de trithérapie, la moitié ont dû au cours de l'étude passer à un autre traitement. Dans ces deux pays, le niveau viral dans le sang a été considérablement réduit en l'espace d'une année chez quasi tous les patients, et le rebond viral (une remontée des niveaux du virus après une période d'effectivité du traitement) est intervenu en l'espace de deux ans chez un quart des patients. Davantage de patients sont morts en Afrique du sud qu'en Suisse, spécialement pendant les trois premiers mois de thérapie. Cette différence, selon les chercheurs, reflète probablement le fait que les patients sud-africains étaient à un stade plus avancé de la maladie que les patients suisses quand ils ont commencé à être traités. Selon les chercheurs, de telle indications renforcent la nécessité d'une poursuite de l'approche de santé publique et laisse imaginer qu'une approche plus standardisée dans les pays développés ne devrait pas compromettre l'efficacité du traitement. Et dans tous les cas, il est clair que les patients ont tout à gagner à être traités plus tôt dans les pays à faible revenu.
http://www.romandie.com/infos/news2/080708000006.xobw75k0.asp
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 11 Juil - 19:06

08/07/2008 La structure des « Kissing complex » dévoilée : application au virus du Sida
http://www2.cnrs.fr
En utilisant des technologies innovantes de RMN(1), des chercheurs de l'Institut de biologie structurale Jean-Pierre Ebel(2) en collaboration avec les équipes de l'Institut européen de chimie et biologie(3) et de l'Université d'Ottawa ont élucidé les mécanismes de reconnaissance spécifique entre l'ARN(4) du virus du Sida et un ARN de synthèse. Ces résultats, publiés le 8 juillet dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences of USA, apportent des connaissances indispensables à l'élaboration de nouvelles thérapies dirigées contre des séquences d'ARN viraux. Bloquer la multiplication du virus VIH chez le patient constitue un important champ d’investigation dans la lutte contre le Sida. Un des axes essentiels de cette recherche réside dans le développement de médicaments de synthèse capables d’empêcher la réplication du virus après l’infection. En effet, pour se multiplier, le virus doit dupliquer son patrimoine génétique lors d’un processus que l’on appelle la réplication. Lors de cette réplication, plusieurs facteurs cellulaires, importants doivent se fixer à une séquence d’ARN régulatrice du génome du VIH, nommée séquence TAR. Une des thématiques importantes de recherche concernant le Sida est donc le développement d’ARNs de synthèse capables de se fixer avec une forte affinité sur cette séquence régulatrice, et ainsi d’empêcher la réplication du virus. (..) Grâce à cette meilleure connaissance des interactions ARN/ARN dans les kissing complex, les chercheurs vont pouvoir avancer dans la recherche d’ARNs de synthèse plus ciblés et plus résistants, pouvant bloquer la réplication du VIH. Ces résultats ouvrent également des nombreuses perspectives pour la conception d’outils biochimiques permettant de comprendre et de réguler les fonctions biologiques dans lesquelles sont impliqués des ARNs formant une boucle. Ces travaux ont bénéficié du soutien de l’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS).
http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1381.htm

08/07/2008 G8 : Act Up appelle Nicolas Sarkozy à soutenir Gordon Brown et George Bush contre le sida
http://www.e-llico.com
Alors que se tient le somment du G8 à Hokkaido, Act Up appelle Nicolas Sarkozy à soutenir Gordon Brown et George Bush afin de rattraper le retard accusé ces dernières années dans la lutte contre le sida. Lors de leur précédente réunion en juillet 2007, les dirigeants du G8 se sont engagés à débloquer 60 milliards de dollars afin de financer leurs engagements précédents en matière de lutte contre les grandes pandémies - entre autres, l'engagement du G8 2005 à atteindre l'accès universel au traitement sida d'ici 2010. Cette année, le Premier Ministre britannique Gordon Brown vient proposer à ses homologues du G8 de concentrer ces 60 milliards sur la période 2009-2011, afin de rattraper le retard accusé ces dernières années. Il a déjà obtenu le soutien de George Bush. Act Up-Paris appelle Nicolas Sarkozy à soutenir aussi cette proposition de Gordon Brown. Les Etats-Unis ont prévu de consacrer à eux seuls 55 milliards de dollars pour la lutte contre le sida et les grandes pandémies, sur la période 2009-2013, dont 30 milliards sur 2009-2011. Ainsi, la proposition de Gordon Brown est que les autres pays du G8 combinés fassent autant, à eux tous, que les Etats-Unis seuls. Du point de vue d'Act Up-Paris, "c'est effectivement un minimum, que Nicolas Sarkozy doit soutenir. De plus, cela correspond à ses engagements politiques : ' je me suis engagé à l'accès universel au traitement du sida d'ici 2010 ', avait-il déclaré durant le sommet du G8 2007.
http://www.e-llico.com/

07/07/2008 Herpès : de nouvelles perspectives thérapeutiques
http://www.rfi.fr
L'herpès est une maladie infectieuse, qui peut être transmise sans que le porteur ne le sache. Une étude, publiée dans la revue américaine Nature, devrait permettre une meilleure compréhension et donc à terme un meilleur contrôle d'un virus très contagieux et très répandu. L'équipe dirigée par le professeur Bryan Cullende (Duke University Medical Center, Durham, Caroline du Nord) indique avoir dévoilé le mécanisme par lequel le virus en cause -dénommé herpès simplex - se maintient caché dans le corps avant de ressurgir à l'occasion d'un stress, d'une exposition au soleil.
http://www.rfi.fr/sciencefr/articles/103/article_68316.asp

07/07/2008 Solidays, 10 ans à l’aise
http://www.liberation.fr
Quelque 150 000 personnes étaient présentes, ce week-end, à l’hippodrome de Longchamp, à Paris, pour les 10 ans de Solidays. Un succès, vu la concurrence : Eurockéennes, Main Square, Terre Neuvas... Luc Barruet, cofondateur de Solidarité Sida et organisateur du festival, le reconnaît : cette forte affluence s’explique par une programmation plus éclectique et de meilleure qualité que les années précédentes. Il y en avait de fait pour tous les goûts. Les fans de hip-hop (IAM, Hocus Pocus), chanson (Cali, Thomas Dutronc) ou electro (Vitalic, Laurent Garnier) ont eu des raisons d’être séduits lors de ces trois jours. Les organisateurs ont en outre décidé de promouvoir des artistes plus underground, tels Bumcello, Dub Pistols, Brodinski, au côté des plus consensuels Cali, Louis Bertignac ou autre MC Solaar. «On a vraiment eu une bonne couverture médiatique cette année. Et même, pour la première fois, des critiques positives de la part des Inrocks», plaisante Luc Barruet. Les nombreux stands de prévention n’ont pas permis d’oublier que Solidays n’est pas un festival de musique comme les autres. C’est aussi un événement destiné à récolter des fonds pour faire reculer le virus du sida et soigner les malades. «L’an dernier, on a subi une baisse d’affluence de 28 %, on a dû laisser tomber certaines associations car on n’avait plus les moyens de les financer. On a donc dû se remettre en question et changer beaucoup de choses, en termes de communication et d’organisation. Le succès étant au rendez-vous, Solidays a encore de beaux jours devant lui», conclut, satisfait, Luc Barruet. Mais, charité oblige, l’ambiance sera restée policée à Longchamp. Le concert anniversaire du samedi soir, avec tous ces artistes de variété reprenant des classiques de la chanson française, prenaient des airs de Star Ac. L’arrivée tant attendue du groupe NTM s’est soldée par une miniapparition de cinq minutes avant disparition. Un peu court pour enflammer les foules.
http://www.liberation.fr/culture/337300.FR.php

05/07/2008 « Militant » n’est pas un gros mot
http://www.humanite.presse.fr
Bertrand Audoin, directeur général de Sidaction, revient sur la politique gouvernementale en matière de santé publique et le désengagement de l'Etat dans la lutte contre le sida.
http://www.humanite.fr/2008-07-05_Tribune-libre_-Militant-n-est-pas-un-gros-mot

04/07/2008 Allemagne : des préservatifs sur mesure en aérosol
http://www.e-llico.com
Une société affirme avoir mis au point un aérosol de latex à vaporiser pour des préservatifs "sur mesure". Sec au bout d’une vingtaine de secondes, le latex solidifié pulvérisé sur la zone concernée serait prévu pour épouser parfaitement celle-ci. Les concepteurs prétendent garantir au porteur le confort d’un préservatif "sur mesure". Le produit pourrait être vendu environ 20 euros pour l’aérosol et 8 euros par recharge de latex, chaque cartouche permettant de vaporiser une quinzaine de préservatifs en moyenne. L'entreprise à l'origine de ce concept envisage de le commercialiser pour le courant de l’été en Allemagne. Il lui faut, au préalable, obtenir une autorisation de mise sur le marché qui confirmera la fiabilité du procédé.
http://v2.e-llico.com/rubrique.htm?rubrique=telex&articleID=17976
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 11 Juil - 19:08

L’Humanité des débats
« Militant » n’est pas un gros mot

La générosité des donateurs de Sidaction doit-elle servir à combler la baisse des financements publics ?

En 2007, Sidaction, association financée à 90 % par des dons de particuliers, a consacré 11 millions et demi d’euros pour la recherche, la qualité de vie et des soins, la prévention et l’aide aux malades, en France et dans 30 autres pays. C’est 1 million cent mille euros de plus qu’en 2006. C’est presque deux fois plus qu’en 2003. Sidaction est donc le premier soutien privé en France à la lutte contre le sida. Nous avons aussi financé plus tôt les programmes que nous avions sélectionnés.
C’est d’autant plus important que, si la nouvelle est bonne pour tous les partenaires de Sidaction, nous avons peur qu’elle soit l’arbre qui cache la forêt. Certaines associations partenaires de Sidaction, en Rhône-Alpes par exemple, sont extrêmement inquiètes de la pression qu’un préfet peut faire peser sur leurs subventions auprès de leurs interlocuteurs publics, malgré la qualité unanimement reconnue de leurs programmes et pour des raisons purement idéologiques. De tels excès seront-ils amenés à se multiplier ? Va-t-on devoir se méfier des préfectures ?
Ce n’est pas notre seule inquiétude. Après la mise en place des franchises médicales dans laquelle nous avons été ignorés, on nous a annoncé des déremboursements de masse pour les retirer quelques jours après. Quelle sera la prochaine étape pour taxer ceux qui ont le moins ? Quelle va être la future politique en matière de réduction des risques avec les toxicomanes ? Va-t-on sacrifier les bons résultats épidémiologiques - quasiment plus de nouveaux cas de sida chez les toxicomanes -au nom de positionnements idéologiques, qui semblent par ailleurs tant détestables pour nos gouvernants quand ils viennent des autres ?
La tarification à l’acte, avec les effets pervers dans les services hospitaliers sur tout ce qui n’est, justement, pas quantifiable, va-t-elle être généralisée à tous les dispositifs d’hébergement, et entraîner les mêmes effets, au risque que ce soit encore une fois les associations qui cherchent ailleurs que dans le soutien public des moyens de compensation des pertes de financement ?
La recherche se porte-t-elle mieux ? Le ministère de la Recherche, après avoir enfin a priori entendu notre appel à un vrai statut de salarié pour les chercheurs doctorants et post-doctorants, n’a assorti cette démarche d’aucune des ressources humaines et financières indispensables. Des associations comme Sidaction se trouvent seules à devoir payer les charges salariales et patronales des employeurs publics et à surmonter les difficultés administratives de la mise en place de chaque contrat. Conclusion : les jeunes chercheurs auront des contrats dans les laboratoires publics mais l’État ne paiera pas.
La réorganisation de la recherche en France est-elle devant nous ? C’est toutefois ce que nous disent les chercheurs. Sidaction, comme d’autres organisations qui soutiennent la recherche, par son expérience unique et sa proximité avec les chercheurs, pourrait avoir un rôle clé dans ce processus. Rappelons que nous y consacrons la moitié de nos moyens.
L’international ? Esther, instrument indispensable à l’amélioration de l’accès aux traitements et des structures de soins a vu sa subvention publique divisée par deux cette année. Alors que le budget 2009 de l’État est en préparation, nous n’avons que des déclarations orales sur l’avenir de cette subvention. Unitaid, structure publique de facilitation d’achat de médicaments via la taxe sur les billets d’avion, réfléchit à la possibilité de faire appel à des dons de particuliers - un peu comme si le ministère de la Santé faisait des appels à dons. Où est le concept de solidarité nationale, que doivent garantir les impôts et les taxes ? Enfin, la contribution réellement versée par la France au Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme est en baisse, et rien ne garantit qu’elle va remonter. La générosité de plus en plus grande des donateurs de Sidaction va-t-elle servir à combler la baisse des financements publics ? C’est tout ce que nous ne voulons pas. Il faut que les pouvoirs publics comprennent que « militant » n’est pas un gros mot, et que notre objectif n’est pas de nous opposer par principe, mais de trouver des solutions en commun.
Par Bertrand Audoin, directeur général de Sidaction.
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptySam 12 Juil - 20:34

vendredi 11 juillet 2008, mis à jour à 22:15
Faute de progrès, Roche suspend ses recherches sur le VIH

Reuters
Le laboratoire pharmaceutique suisse Roche va suspendre ses recherches sur le VIH, aucun de ses médicaments en développement ne représentant un progrès notable par rapport aux produits existants, annonce une porte-parole de l'entreprise.




"Les chercheurs travaillant actuellement sur le VIH seront réaffectés à d'autres activités", écrit dans un courriel Linda Dyson, porte-parole du bureau de Roche dans le New Jersey.

Dans un autre courriel envoyé mercredi aux associations de lutte contre le virus, Roche disait avoir "décidé de réorienter nos ressources en virologie vers des maladies pour lesquelles nous pouvons apporter des améliorations substantielles aux médicaments existants".

La porte-parole n'a pas souhaité indiquer quel était le montant des investissements de Roche dans la recherche sur le virus d'immunodéficience humaine, responsable du sida.

Deepa Seetharaman, version française Gregory Schwartz


function imgzoom(o) {if(event.ctrlKey) {var zoom = parseInt(o.style.zoom, 10) || 100;zoom -= event.wheelDelta / 12;if(zoom > 0) {o.style.zoom = zoom + '%';} return false; } else {return true;}}
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MessageSujet: ROCHE / ARRET DES RECHERCHES MEDICS VIH   mini revue de presse 110708 EmptyMar 15 Juil - 15:16

Ils se font désirer depuis des années, mais les médicaments permettant une réelle avancée voire une guérison totale du SIDA ne sont pas pour demain. On parlait d'un vaccin, de nouvelles molécules révolutionnaires, mais tout cela semble appartenir au doux rêves des chercheurs. Le laboratoire suisse Roche a donc décidé de mettre fin à ses projets anti-SIDA et de réaffecter les personnels vers des traitements contre l'hépatite B ou C. Un aveu d'échec qui risque de porter un coup au moral des sidéens, toujours accrochés à l'espoir de voir leur maladie soignée dans les années qui viennent..
Roche est avant tout une société qui cherche le profit, il ne faut pas l'oublier. La recherche coûte cher et elle stagne. Les chercheurs engagés dans la lutte contre le SIDA sont autant de personnes qui ne travaillent pas à l'élaboration de nouveaux médicaments contre d'autres pathologies. Des médicaments que l'on peut perfectionner, contrairement au SIDA qui reste un gouffre en temps et en argent, pour... Rien.
Heureusement, Roche n'est pas le seul acteur sur la scène pharmaceutique et d'autres laboratoires, d'autres chercheurs, continueront à travailler sur le virus du VIH, pour un jour trouver le moyen d'enrayer cette pandémie qui affecte déjà 40 millions de personnes dans le Monde.
On ne rappellera jamais assez que le SIDA reste une maladie incurable, qu'on ne peut pas en guérir, mais tout au plus retarder l'échéance...
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyMer 16 Juil - 20:43

Sida: décision de Roche "désespérante" selon Elus locaux contre le sida



Il y a 23 heures
PARIS (AFP) — La décision du laboratoire pharmaceutique suisse Roche de suspendre la recherche sur de nouveaux médicaments contre le sida est "désespérante pour les 33 millions de malades", estime mardi l'association Elus locaux contre le sida (ELCS).
Tout en reconnaissant que la décision "relève naturellement du droit le plus strict d'une entreprise privée", l'association déplore une "annonce à la forme et au contenu désespérante pour les 33 millions de malades".
"La direction de Roche rend publique son incapacité, dans les 5 ou 6 prochaines années, à trouver de meilleures thérapies", constate l'association. "De ce fait, si elle était suivie par les dirigeants des autres laboratoires impliqués dans la recherche sur le VIH, elle condamnerait les personnes séropositives à aller au bout de leurs traitements puis, en état d'échappement thérapeutique, à mourir, faute de nouvelles thérapies", poursuit ELCS.
Jean-Luc Romero, président d'ELCS, "s'étonne qu'un groupe de chercheurs, dont le métier, par définition, est d'explorer toutes les voies et de ne jamais être sûr d'un résultat avant qu'il ait été cliniquement avéré, ait acquis la certitude absolue de ne rien trouver". Il rappelle que la plupart des grandes découvertes "ont été faites par hasard".
Selon lui, la décision de Roche met en lumière "l'incapacité de la puissance publique et notamment l'Europe, aujourd'hui, à assumer son devoir à mener une recherche appliquée de haute qualité et à avoir une parole forte en matière de sida, ainsi que les limites de la délégation dans une telle matière".

function imgzoom(o) {if(event.ctrlKey) {var zoom = parseInt(o.style.zoom, 10) || 100;zoom -= event.wheelDelta / 12;if(zoom > 0) {o.style.zoom = zoom + '%';} return false; } else {return true;}}
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyMer 16 Juil - 22:50

Cause génétique de la résistance innée au VIH/SIDA

http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/July2008/16/c5260.html

Des chercheurs du CUSM et du CHUM démontrent l'implication de deux gènes
spécifiques dans la résistance innée à l'infection par le VIH.

MONTREAL, le 16 juill. /CNW Telbec/ - Certaines personnes résistent de
façon innée à l'infection par le virus du VIH et ne développent pas de SIDA.
Les résultats de l'étude menée par la Dre Nicole Bernard, de l'Institut de
recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), nous rapprochent de
l'explication génétique de cette intrigante observation. Ils ont été publiés
dans le journal AIDS le 16 juillet.
L'expression simultanée de certaines versions de deux gènes spécifiques,
KIR3DL1 et HLA-B(*)57, serait à l'origine de cette résistance innée à
l'infection par le VIH. Selon les versions de ces deux gènes que le patient
possède, il sera résistant au VIH/SIDA ou développera la maladie plus
lentement.
Ces résultats ont été obtenus en comparant les profils génétiques de
patients VIH primo-infectieux (c'est-à-dire dans leur première année après
infection) et de patients exposés de façon répétée au virus mais non infectés.
Le groupe des patients exposés mais non infectés provient d'une cohorte
dirigée par la Dre Julie Bruneau du Centre hospitalier de l'Université de
Montréal. La cohorte de patients primo-infectieux est étudiée par le Dr
Jean-Pierre Routy, du CUSM. Les analyses montrent que la combinaison des
"bonnes" versions des deux gènes était présente chez 12,2 % des patients
exposés non infectés, contre seulement 2,7 % chez les patients
primo-infectieux.
Aucune étude n'a encore clairement décrit le mécanisme à l'origine de
cette protection. Le gène KIR3DL1 code pour un récepteur à la surface des
cellules NK du système immunitaire qui, une fois activées, détruisent les
cellules infectées du corps. Le gène HLA-B(*)57 code pour une protéine qui se
trouve normalement à la surface de toutes les cellules du corps, se lie à
KIR3DL1 et empêche l'action des NK. L'hypothèse la plus probable postule que
la présence du VIH empêcherait la protéine issue de HLA-B(*)57 d'être exprimée à
la surface des cellules infectées, et donc de se lier à KIR3DL1. Ainsi
l'action des cellules NK ne serait pas empêchée et elles pourraient détruire
les cellules infectées par le virus.
Ce mécanisme se met en place très tôt après l'entrée du virus dans les
cellules du corps. En conséquence, les personnes porteuses de ces deux
versions des deux gènes seraient capables de détruire plus efficacement les
cellules infectées juste après l'exposition au VIH, diminuant ainsi leurs
chances de développer le SIDA. "Il sera nécessaire de poursuivre nos études
pour dévoiler le mécanisme exact derrière la protection que nous observons,
mais ces résultats nous montrent une voie prometteuse," selon la Dre Bernard.
Ces conclusions ouvrent la voie à une nouvelle conception de la lutte
contre l'infection du VIH. "Dans le futur, ces résultats pourraient être
utilisés pour "doper" le système immunitaire inné et ainsi combattre le virus
dès son entrée," explique la Dre Bernard.
La Dre Nicole Bernard est chercheuse dans l'axe "Infection et immunité"
de l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill et membre
du Centre SIDA McGill. Elle est également professeure adjointe de médecine à
la Faculté de médecine de l'Université McGill.
La Dre Julie Bruneau est médecin au Service de médecine des toxicomanies
du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et directrice
scientifique adjointe pour la recherche clinique au Centre de recherche du
CHUM. Elle est également professeure adjointe au Département de médecine
familiale de l'Université de Montréal.
Le Dr Jean-Pierre Routy est chercheur dans l'axe "Infection et immunité"
de l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill et
professeur adjoint en hématologie à la Faculté de médecine de l'Université
McGill.
Cette étude a été financée par les Instituts de recherche en santé du
Canada (IRSC) et le Fonds de la recherche en santé du Québec (FRSQ).

Le Centre universitaire de santé McGill

Le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) est un centre hospitalier
universitaire intégré, reconnu à l'échelle internationale pour l'excellence de
ses programmes cliniques, de sa recherche et de son enseignement. Les hôpitaux
partenaires sont : l'Hôpital de Montréal pour enfants, l'Hôpital général de
Montréal, l'Hôpital Royal Victoria, l'Hôpital et l'Institut neurologiques de
Montréal, l'Institut thoracique de Montréal et le Centre hospitalier de
Lachine. Le CUSM a pour objectif d'assurer aux patients des soins fondés sur
les connaissances les plus avancées dans le domaine de la santé et de
contribuer au progrès des connaissances. www.cusm.ca

L'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM)
est un centre de recherche de réputation mondiale dans le domaine des sciences
biomédicales et des soins de santé. Etabli à Montréal, au Québec, il constitue
la base de recherche du CUSM, centre hospitalier universitaire affilié à la
Faculté de médecine de l'Université McGill. L'Institut compte plus de
600 chercheurs, près de 1 200 étudiants diplômés et postdoctoraux et plus de
300 laboratoires de recherche consacrés à un large éventail de domaines de
recherche, fondamentale et clinique. L'Institut de recherche est à
l'avant-garde des connaissances, de l'innovation et de la technologie. La
recherche de l'Institut est étroitement liée aux programmes cliniques du CUSM,
ce qui permet aux patients de bénéficier directement des connaissances
scientifiques les plus avancées.
L'Institut de recherche du CUSM est soutenu en partie par le Fonds de la
recherche en santé du Québec.
Pour de plus amples renseignements, consulter l'adresse
www.cusm.ca/research.
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyVen 18 Juil - 15:02

http://poverty-related-diseases.teamwork.fr/

« défis pour le futur, recherche
sur le VIH/SIDA, malaria et tuberculose » »

Le 13 et 14 novembre 2008, la direction de la recherche de la commission
européenne organise à Bruxelles, dans le but
d'augmenter l'impact de la recherche financée par l'union
européenne, une conférence internationale sur les
maladies liées à la pauvreté.


"Challenges
for the future - research on HIV/AIDS, malaria e tuberculosis"
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MessageSujet: Re: mini revue de presse 110708   mini revue de presse 110708 EmptyDim 27 Juil - 13:25

A peine les laboratoires Roche ont-ils annoncé qu’ils arrêtaient la recherche sur une nouvelle thérapie contre le sida qu’on apprend que le groupe suisse va acquérir la totalité de la firme américaine Genentech dont ils détenaient déjà la majorité pour une somme de 28 milliards d’euros. Une somme colossale.mini revue de presse 110708 1158281165
Cette acquisition est déterminante pour ce laboratoire suisse qui va avoir accès à des médicaments importants dans le domaine du cancer et de l’immunologie et surtout un plein accès au marché américain.
Une annonce qui survient, je le rappelle, une semaine après la décision de ce laboratoire d’arrêter la recherche d’une nouvelle thérapie au prétexte qu’il estimait ne pas pouvoir trouver d’autres médicaments plus efficaces que les leurs dans les cinq ou six ans !!!
Roche qui est déjà le numéro cinq mondial mène l’une des plus grosses opérations dans ce secteur… et dans le même temps abandonne les malades du sida. Roche ne connaît pas la crise… sauf pour le sida !!!





00:05 Publié dans Lutte contre le sida et ELCS, Politique internationale, Santé |
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